
New Corporate Tax Rules Boost Revenue Collection
Changes to deductions and the requirement for companies to pay at least 3% of their profits, combined with positive economic performance, have driven tax revenue to €89 million by June 30, a 60% increase compared to 2024.
Government revenues showed solid growth during the first half of the year, though performance varied by category. Direct taxation surged, mainly due to corporate tax reform. The new deduction rules and the 3% minimum payment requirement raised state income by 60%, offsetting the decline in indirect taxes linked to lower tobacco import duties.
According to the report “Budgetary and Financial Statements – as of June 30, 2025”, total revenues reached €366.5 million, up 11% from €329.7 million in 2024. Direct taxation grew by 38%, from €87 million to €118.7 million, led by €89 million in corporate tax (compared to €55.7 million in 2024), €21.9 million in personal income tax (+23%), and €7.7 million from non-resident income tax (+83%).
Conversely, indirect taxation fell 3%, from €184.9 million to €179.4 million, mainly due to a 21.8% drop in tobacco consumption tax, from €70.5 million to €48.3 million. However, IGI (the general indirect tax) increased 10.55% to €89.5 million. The tourist tax fell slightly (–4%) to €3.6 million, while gaming tax rose sharply from €0.3 million to €1.8 million, following the casino’s contribution.
Property income also improved, reaching €41.5 million (up from €30.3 million), boosted by FEDA’s profit distribution (€8.4 million) and the sale of Andorran euro coins.
Expenditures grew moderately to €277.8 million (+7%). Personnel costs rose 6%, spending on goods and services fell 3%, and public investment increased to €22 million (from €18.1 million in 2024). By June 30, the government recorded a budget surplus of €89 million, 28% higher than the €69.7 million surplus in the first half of 2024.
Les nouvelles règles de l’impôt sur les sociétés font bondir les recettes
Les changements dans les déductions et l’obligation pour les entreprises de payer au moins 3 % de leurs bénéfices, ajoutés à la bonne conjoncture économique, ont permis d’atteindre 89 millions d’euros de recettes au 30 juin, soit une hausse de 60 % par rapport à 2024.
Les revenus de l’État au premier semestre ont été globalement positifs, bien que variables selon les catégories. La fiscalité directe a fortement progressé, principalement grâce à la réforme de l’impôt sur les sociétés. Les nouvelles règles de déduction et le taux minimum de 3 % ont accru les recettes publiques de 60 %, compensant la baisse de la fiscalité indirecte due au recul de la taxe sur les importations de tabac.
Selon le rapport « États budgétaires et financiers – exercice au 30 juin 2025 », les revenus totaux atteignent 366,5 millions d’euros, en hausse de 11 % par rapport aux 329,7 millions enregistrés en 2024. La fiscalité directe a augmenté de 38 % (de 87 à 118,7 millions), portée par 89 millions d’euros d’impôt sur les sociétés (contre 55,7 millions en 2024), 21,9 millions d’impôt sur le revenu (+23 %) et 7,7 millions d’impôt sur le revenu des non-résidents (+83 %).
En revanche, la fiscalité indirecte a reculé de 3 %, passant de 184,9 à 179,4 millions d’euros, à cause d’une baisse de 21,8 % de la taxe sur le tabac (de 70,5 à 48,3 millions). L’IGI (impôt général indirect) reste toutefois en hausse (+10,55 % à 89,5 millions). La taxe touristique baisse légèrement (–4 %, à 3,6 millions), tandis que la taxe sur les jeux d’argent augmente fortement (de 0,3 à 1,8 million), grâce à la contribution du casino.
Les revenus patrimoniaux progressent également, à 41,5 millions d’euros (contre 30,3), notamment grâce aux dividendes de la FEDA (8,4 millions) et à la vente de pièces en euros andorrans.
Les dépenses publiques atteignent 277,8 millions d’euros (+7 %). Les coûts de personnel augmentent de 6 %, les dépenses en biens et services baissent de 3 %, et l’investissement public grimpe à 22 millions (contre 18,1 en 2024). Au 30 juin, le gouvernement affiche un excédent budgétaire de 89 millions d’euros, soit 28 % de plus que les 69,7 millions du premier semestre 2024.